Vous ne pourrez sans doute pas vous empêcher de penser au BWV 974 de Bach en entendant les toutes premières notes. Ou encore de trouver Telemann bien italien, ce qui se justifie ô combien, pour un concerto pour 4 violons si singulièrement vénitien, les 4 Saisons hantant littéralement l'oeuvre. Ou encore de songer à Haendel et à ses concerto grosso, ce qui est un tour de force au regard de l'absence de basse continue.
Harnoncourt (Mme, Alice) à l'un des violons; et Harnoncourt (Mr, Nikolaus) à la baguette, avec "sa" formation, fondée en 1953, le Concentus musicus de Vienne.
Ciselé, ascétique, équilibré, expressif.
Parfait.
Belle écoute!
c'est super ce partage
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